Livre pour enfants - dès 4 ans. Prix 2002 du livre illustré décerné par le Département des Affaires culturelles de la ville de Genève.
Il était une fois une planète où l'on se nourrissait de tambourtatins, sortes de pommes de terre pourvues d'yeux rieurs. Tout se passait plutôt bien, jusqu'au jour où un dinoroi décida de produire en masse cette denrée de base pour s'enrichir. Tout le monde voulait des TGM (tambourtatins génétiquement modifiés) et le tyran mit sur pied un système capitaliste redoutable. Mais ses sujets organisèrent une riposte et choisirent de retourner à leur équilibre d'antan. Une petite fable qui montre les dangers de la mondialisation sur un mode loufoque et plaisant, notamment grâce aux illustrations amusantes de Veronika Viznerova van der Linden. Le courrier novembre 2001
Le monde dont il est question ici ressemble comme deux gouttes d'eau de mer à un ballon de plage. Ses habitants sont de drôles de dinosaures qui se nourrissent exclusivement de Tambourtatins. Ils vivent heureux jusqu'au jour où l'un de leurs dinorois décide de les soumettre. Ce triste sire fait "modifier-colorer" les Tambourtatins afin d'appâter ses crédules concitoyens. Et ça marche ! Sa majesté Mégalomane s'enrichit sur le dos des gourmands sauriens et fini par prendre le contrôle de la terre entière ! D'autant plus que les nouveaux Tambourtatins ne font pas de graines. L'avenir de toute la planète est en jeu... Journal Construire - juin 2002
La planète des Tambourtatin est le premier album de Veronika Viznerova van der Linden. C'est aussi le premier titre paru aux édition du Dino, nouvelle maison d'édition genevoise de livres pour enfants, fondé par cette graphiste et illustratrice. Dans cet album aux illustrations baroques, il est question d'une planète où vivaient en bonne harmonie les Dinos, grand consommateurs de Tambourtatins, sorte de pomme de terre aux yeux rieurs. Mais voilà qu'un grand méchant cherche à s'enrichir en modifiant génétiquement ces braves tubercules. D'où problemes. Heureusement, un petit Dino sauve la planète par sa prévoyance. La Tribune de Genève - février 2001